« Face à un souci de rentabilité de notre société, Stéphane a balayé large et investigué de nombreuses pistes. Une des solutions qu’il nous a proposées a permis de faire un vrai pas en avant. Son intervention a permis de mettre en évidence un aspect de notre procédé pyrométallurgique faisant preuve de bon sens d’une part, et qui nous a aidés très rapidement à améliorer notre productivité de manière significative et durable, d’autre part ». Marc Pyck, administrateur délégué de la FMM (groupe Recylex).
« L’expérience vécue entre la société MP Solving et Bridgestone Aircraft Europe (BAE) était basée sur une machine d’habillage présente en deux exemplaires dans notre usine et dont la productivité était trop basse par faute de problèmes techniques liés au centrage des bandes de matière […] L’approche systématique menée par M. Savelli a conduit à élargir le champ des améliorations à d’autres problèmes de divers ordres et importances remontés par les opérateurs. Un plan d’actions complet a pu être livré en fin de mission sur toutes les pistes à mettre en oeuvre pour amener ces deux machines à un niveau de performance optimale […] Une analyse théorique basée sur TRIZ a été menée plus particulièrement sur le problème de centrage. Celle-ci a débouché sur des solutions théoriques qui ont permis par élimination d’arriver sur quelques solutions pratiques à appliquer. L’une d’elles a été retenue […] Si la mission menée par M. Savelli fût un succès, c’est grâce à l’approche systématique et structurée, au sens accru de l’observation, du dialogue et de la synthèse dont il a fait preuve […] Voilà un outil supplémentaire dont BAE pourra tirer le meilleur afin d’assurer son ascension continue en tête de son secteur d’activité. Merci à la contribution de MP Solving ». Nicolas Latouche, engineering manager de Bridgestone Aircraft Tire Europe.
« Nexans Elouges est à la pointe du développement technique en ce qui concerne la production de lignes aériennes (câbles haute tension). Nous avons fait évoluer notre process année après année pour répondre aux demandes du marché, mais nous étions arrivés à un point de stagnation. Pour rester compétitifs, nous devions optimiser notre procédé d’assemblage de fils de forme. L’étude réalisée par Stéphane a débouché sur de nombreuses pistes jamais imaginées auparavant, dont certaines vont nous permettre de franchir un cap supplémentaire. Grâce au temps qu’il a consacré à ce projet, en bureau ou sur le terrain avec les opérateurs, nous sommes convaincus d’avoir fait le tour de la question et d’avoir tout en main pour rester leader. Merci Stéphane ! ». Nicolas Glorieux, directeur de production de Nexans Elouges.
« A la recherche de méthodes d’innovation, nous avons souhaité tester la méthode TRIZ par l’intermédiaire de Stéphane Savelli. Ainsi, nous avons travaillé sur un sujet d’innovation produit dans le domaine des arts de la table. Très curieux, nous avons immédiatement été séduits par l’aspect systématique et rationnel de la méthode. Elle nous a permis de balayer un spectre complet de solutions et de définir rapidement si elles étaient viables ou non. Pour cela nous avons travaillé par séances de travail intensives, alimentées en parallèle par du travail bibliographique et/ou expérimental. La qualité des délivrables a rendu aisée l’exploitation de ce travail. D’autre part, les excellentes qualités de compréhension, d’analyse et d’animation de S. Savelli ont permis d’aboutir à une solution non triviale. A la suite de l’étude, nous avons pu poursuivre les travaux sur ce développement ». Valentin Singlit, chef de projet R&D innovation produit chez Arc International.
« L’innovation est l’un des principaux moyens pour acquérir un avantage compétitif en répondant aux besoins du marché. Mais comment innover ? Ponctuellement, par un effet « eurêka », par des séances de brainstorming ou autre. Avec l’intervention de MP Solving, nous avons pu tester et éprouver la méthode TRIZ appliquée à un cas très concret. Ce qui a eu comme résultat d’identifier très clairement, grâce à une méthodologie très structurée et encadrée, une « roadmap » de solutions techniques à développer. Encore merci à M. Savelli pour son aide ». Fabrice Kaczmarek, R&D manager solar thermal, Viessmann Faulquemont.
« La réputation de notre société s’est bâtie sur sa capacité à innover, aussi avons nous été particulièrement intéressés lorsque MP Solving nous a proposé d’évaluer sa méthode de résolution de problèmes « inventifs » : TRIZ. Nous avons appliqué et testé cette méthode sur un sujet propre au monde aéronautique, auquel Dassault Aviation, ainsi que d’autres acteurs du secteur avaient déjà consacré beaucoup d’énergie. Le résultat a été encourageant à plus d’un titre : d’abord parce que le mode de réflexion inhérent à TRIZ nous a permis de considérer notre approche du problème sous un autre jour, ensuite parce que la méthode nous a permis d’imaginer de nouvelles solutions. Originales et applicables à court, moyen ou long terme, faisant appel à des technologies parfois éloignées de celles classiquement utilisées par notre industrie, ces solutions offrent plusieurs possibilités de rupture technologique. L’aspect systématique et rationnel de la méthode est très rassurant pour nous autres ingénieurs, mais peut générer énormément de possibilités. Sur ce sujet complexe, l’expérience de Stéphane et d’Oleg a été déterminante pour arbitrer et ne pas se perdre parmi un large choix de technologies et de solutions, faisant de TRIZ un véritable catalyseur d’innovation. A l’issue de cette expérience, il est envisageable de dépasser le stade de l’évaluation et de poursuivre notre collaboration avec MP Solving. Une équipe d’ingénieurs système de Dassault Aviation, sous la direction de Frédéric Falchetti, directeur technique des systèmes.
« La capacité d’innover et d’optimiser en permanence les équipements est l’une des fibre de l’ADN de notre société. Curieux, peut-être un peu dubitatifs au départ, nous avons souhaité évaluer la méthode TRIZ sur un équipement particulier de notre gamme de produits. Stéphane Savelli et Charlie Lutaud sont très rapidement « montés à bord » d’une de nos équipes projets et leurs apports par cette méthode très systématique ont été décisif. Cette approche nous a permis d’explorer de nombreuses voies qui ont permis de progresser vers un nouveau concept satisfaisant les spécifications imposées. Au-delà du produit, cette approche a également eu un impact sur la capacité de remise en question, lors de tout nouveau développement, de la part de l’équipe dans sa globalité. » Benoit Nactergal, R&D manager chez IBA.
« Chez IBA, après une première expérience d’application de la méthode TRIZ sur un cas pratique, nous avons décidé de proposer une introduction à la méthode à divers responsables et ingénieurs au sein de notre département de R&D. Sans y regarder de plus près, on peut imaginer que la méthode TRIZ est une sorte de recette magique : quelques personnes intelligentes ont analysé des brevets et en ont déduit des tendances, ce qui permet très facilement de trouver une solution à un problème ou imaginer comment il faut faire évoluer son produit … Evidemment, ce n’est pas aussi simple, et ceux qui seraient tentés de prendre des raccourcis vont au-devant d’une certaine déception. Pendant trois jours donc, Stéphane Savelli nous a présenté les bases de la méthode. Aux exposés présentant les outils, se succédaient des séances en petits groupes travaillant sur des problèmes d’actualité, en gestation chez IBA. Nous sommes ainsi passés de la formulation du problème à sa résolution en utilisant certains outils de la méthode. Bien sûr, IBA développe des systèmes complexes et a une certaine expérience en « requirement engineering » et en formulation de problèmes… Mais nous avons aussi tendance à supposer que tout le monde attaque le problème sous le même angle, mettant l’accent sur les mêmes problématiques. Ce n’est pas toujours le cas. Au cours de ce workshop, en quelques heures, les problèmes ont été posés et formulés de différentes manières, de sorte que tout un chacun avait le même niveau de compréhension des priorités et du challenge qui était posé. Ce qui a été frappant donc, c’est l’alignement que l’on pouvait retrouver au sein des groupes. Ensuite, forts de cet alignement, divers outils permettant de lancer des pistes pour identifier la meilleure solution ont été explorés. Chacun ayant sa façon de réfléchir les affinités propres de l’un et l’autre pour les outils proposés variaient mais, en définitive, toutes les pistes de solutions allaient vers le même but.Trois jours que je ne saurais assez conseiller aux équipes qui recherchent à mettre de l’ordre dans leurs idées tout en débridant la créativité technique. » Eric Forton, R&D manager chez IBA.